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Une histoire des parents d'écrivains, de Balzac à Marguerite Duras
EAN13
9782081228337
ISBN
978-2-08-122833-7
Éditeur
Flammarion
Date de publication
Collection
UNE HISTOIRE DE
Nombre de pages
324
Dimensions
21,9 x 13,4 x 2,1 cm
Poids
326 g
Langue
français
Langue d'origine
français
Code dewey
840.9
Fiches UNIMARC
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Une histoire des parents d'écrivains

de Balzac à Marguerite Duras

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Flammarion

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Dans la lignée de l'Histoire des haines d'écrivains, avec la même verve et une pluie d'anecdotes, ce livre-ci raconte la manière dont les parents d'écrivains, au xixe et au xxe siècle, ont réagi à la vocation de leur progéniture. Disgrâce absolue, pour certains : c'est ainsi que la mère de Balzac et le père de Sollers ont très vivement conseillé à leurs rejetons de prendre un pseudonyme. Quant à la mère de Jules Renard, elle parlait de son fils comme d'un « chieur d'encre ». Pour d'autres, le métier d'écrivain est moins une honte qu'un fourvoiement : « Tu es faite pour le commerce », répétait Mme Duras à Marguerite. D'autres encore s'agacent de l'imagination débordante de leurs enfants, notamment quand eux, les parents, sont concernés. Voilà comment on prête à Mme Sartre cette phrase atroce, après qu'elle eut fini de lire Les Mots : « Poulou n'a rien compris à son enfance. »   Mais tous les parents n'ont pas été hostiles : certes, Balzac a eu le malheur d'être le fils de sa mère (laquelle a légué la bibliothèque familiale à son fils adultérin, plutôt qu'à Honoré, qui en avait pourtant bien besoin), mais il a eu le réconfort d'être le fils de son père… Alexandre Dumas, lui, a été accompagné et soutenu par une mère aimante ; et Marguerite Yourcenar a été encouragée par son père dès l'affirmation de sa vocation. Ce soutien frôle parfois la dévotion, y compris sous une forme cocasse : quand, emporté par l'inspiration, Lamartine célébra dans un poème le lierre majestueux qui recouvrait la maison familiale, ni une ni deux, sa mère s'empressa d'en planter un, afin que personne ne puisse prendre Alphonse en défaut !

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