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Le Carnet À Spirales .

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Les lectures de l'équipe du Carnet à spirales pour vous aider dans vos choix, vous accompagner dans vos nuits blanches, dans vos heures d'évasions romanesques.
Peu adeptes des étoiles nous avons décidé d'en donner 5 par défaut à nos recommandations.
Au plaisir de vous lire et de vous recevoir au Carnet à spirales

Conseillé par (Libraire)
11 août 2023

Troublant et merveilleux à la foi

Un beau récit sur l’acceptation de soi et la communication avec son entourage.
À partir de 13 ans

Conseillé par (Libraire)
11 août 2023

Les règles, parlons-en !

Dézinguons les tabous autour d’un événement aussi naturel que sont les règles. Nous allons suivre un groupe de meilleures amies qui se posent une question : pourquoi les serviettes hygiéniques ne sont-elles pas gratuites ? C’est au sein de leur collège qu’elles vont se battre pour avoir des protections périodiques gratuites dans les toilettes des filles. Une superbe BD sur l’amitié mais pas seulement !

15,50
Conseillé par (Libraire)
8 août 2023

« Un roman choral vertigineux, addictif et puissant. »

En un tome, sur les us et coutumes impitoyables d’un collège comme tous les autres, ou quand le mal psychologique se transforme en maux physiques...
De la 6ème à la 3ème, suivez quatre élèves durant cette année scolaire placée sous le signe de l’apocalypse, littéralement.
Une écriture fluide, tranchante, haletante, qui captive et déroute. Epoustouflant !
TW : suicide, meurtre, harcèlement physique et moral, anorexie (dès 14 ans).

Conseillé par (Libraire)
4 août 2023

Daniel, le vieil oncle de Chris de Stoop, vivait paisiblement, comme hors monde, précurseur malgré lui d’une décroissance qui se décline aujourd’hui en mouvement et slogans, dans une ferme de briques rouges typique de Belgique. 84 ans à vivre ici. 84 ans à chérir ses vaches et voir son activité décliner. Ce récit est celui de cet oncle peu connu par Chris de Stoop car taiseux et isolé, ermite un peu sale, aux habitudes bien ancrées. Ce récit est celui d’une mise à mort, un jour d’ennui, par plusieurs jeunes venant de Roubaix, pour piquer le pécule accumulé par le vieil homme. Ce récit est celui d’une émulation de jeunes en mal de fric et d’adrénaline, qui ne voyait plus en Daniel cet homme respectable mais une bête que l’on peut alors écraser sans remords. Ce récit est celui de Chris qui doit se porter partie civile au tribunal afin de que cette « affaire » soit jugée. C’est une plongée dans la vie paysanne du début de siècle et plus encore, dans une prospère Belgique traditionnelle, c’est une plongée dans la haine gratuite de jeunes immatures qui forment alors un groupe décérébré, c’est le récit d’une mise à mort implacable dans le silence des voisins, dans l’indifférence générale, c’est le récit de la mort d’un homme devenu animal aux yeux de ceux qui prédateurs sont devenus. C’est un hommage à Daniel. C’est une étude sociale. Cela donne des frissons et c’est tristement d’actualité. A lire de toute urgence mais lentement pour s’imprégner au plus profond de ces détails qui pervertissent le regard des uns sur les autres.

Stéphane Émond

Table Ronde

16,00
Conseillé par (Libraire)
4 août 2023

Tout en finesse, en légèreté, comme en apesanteur, dans une langue superbe et nourrie de sentiments, Stéphane Emond revient sur les jours de débâcle connue par sa famille, en Argonne, lors de la seconde guerre mondiale. Géographie de l’intime, celle de cette famille paysanne unie dans le labeur et le quotidien, géographie topographique de cette Argonne séduisante, « Argonne » embrasse par ce destin familial la grande histoire de tant de familles et tend alors à l’universel. Tel un artisan Stéphane Emond travaille ses phrases sans artifice dans une économie de mots, ce mot juste là où il faut. Sur son établi il forge ainsi un texte remarquable par sa qualité littéraire et par sa profondeur. A déguster lentement, sagement, philosophiquement, en chérissant ce bonheur de posséder un toit, en œuvrant pour maintenir cette paix qui évite ainsi d’être balancé sur les routes, à la merci des bombes, en emportant presque rien et en revenant corps et cœur meurtris, amputés d’une disparition.