Si vous ne connaissez pas Louise Colet, ne tardez plus à découvrir ce personnage fascinant.
Poétesse du XIX siècle, Louise Colet quitte Aix en Provence avec son époux pour la capitale où elle ne tardera pas à se faire remarquer.
Elle recevra de nombreux prix de l'Académie française, fréquentera les grands noms de la littérature, deviendra la maîtresse de Flaubert et la muse de Paris. Elle voulait que sa vie soit un tourbillon.
Jessica L Nelson nous raconte cette femme novatrice, talentueuse, féministe au caractère tempétueux.
Un roman réjouissant!
Cécile

Vers la fin de la Guerre Froide, en 1987, Robert McCammon publie ce roman terrifiant. Couronné du prix Bram Stoker (prix créé en 1987 et dont le co-lauréat cette année-là était Stephen King avec "Misery"), le livre vient juste d'être traduit et publié par les éditions Monsieur Toussaint Louverture qui ont décidé de l'habiller d'une couverture vintage et Pulp à souhaits !

Le roman s'ouvre sur une pluie de missiles et de bombes nucléaires qui s'abattent sur les États-Unis. Rayant quasiment tout de la carte et en premier lieu les grandes villes. Seuls quelques survivants arrivent à s'en sortir, hagards, ne sachant pas exactement ce qu'il s'est passé, ni si ça concerne l'ensemble du pays ou seulement certaines région. L'air est irrespirable, l'eau contaminée et rapidement après ces grands feux nucléaires ce sont des tempêtes glaciales qui dévastent tous les paysages.

C'est dans ce décor d'Apocalypse que l'on va suivre une poignée de personnages, certains bienveillants, révélant même une nature, des pouvoirs insoupçonnés, et d'autres, beaucoup plus hostiles, l'âme humaine dans toute son ambivalence, capable des pires atrocités.

Une grande fresque haletante, publiée en 2 volumes, entre Mad Max et La Route de Cormac McCarthy, qui joue avec les codes.

Un vrai régal à découvrir absolument pour tous les fans du genre et même les curieux !

Aurélie (Coup de cœur de Sébastien aussi !)

Vers la fin de la Guerre Froide, en 1987, Robert McCammon publie ce roman terrifiant. Couronné du prix Bram Stoker (prix créé en 1987 et dont le co-lauréat cette année-là était Stephen King avec "Misery"), le livre vient juste d'être traduit et publié par les éditions Monsieur Toussaint Louverture qui ont décidé de l'habiller d'une couverture vintage et Pulp à souhaits !

Le roman s'ouvre sur une pluie de missiles et de bombes nucléaires qui s'abattent sur les États-Unis. Rayant quasiment tout de la carte et en premier lieu les grandes villes. Seuls quelques survivants arrivent à s'en sortir, hagards, ne sachant pas exactement ce qu'il s'est passé, ni si ça concerne l'ensemble du pays ou seulement certaines région. L'air est irrespirable, l'eau contaminée et rapidement après ces grands feux nucléaires ce sont des tempêtes glaciales qui dévastent tous les paysages.

C'est dans ce décor d'Apocalypse que l'on va suivre une poignée de personnages, certains bienveillants, révélant même une nature, des pouvoirs insoupçonnés, et d'autres, beaucoup plus hostiles, l'âme humaine dans toute son ambivalence, capable des pires atrocités.

Une grande fresque haletante, publiée en 2 volumes, entre Mad Max et La Route de Cormac McCarthy, qui joue avec les codes.

Un vrai régal à découvrir absolument pour tous les fans du genre et même les curieux !

Aurélie
(Coup de cœur de Sébastien aussi !)

Playlist est désormais un ouvrage de référence en matière de sound studies interrogeant les rapports entre sexualité et musique. Et l'ouvrage est dense : comment la musique s'insère-t-elle dans l'histoire sonore de la sexualité ? En seize chapitres autonomes, l'auteur aborde la complexité du pouvoir de la sexualité à travers Pink Floyd, Wagner, le tango argentin ou bien encore Madonna, en faveur d'une musicologie féministe à venir. Playlist est une invitation à l'écoute musicale faite entièrement par le corps.

Julien

Qu'est-ce qu'être punk en RDA ? Que signifie faire de la musique interdite dans une état semi-totalitaire ? Too much future explore une époque où les rapports entre politique et musique relevaient du danger. On apprend comment et pourquoi la scène punk était infiltrée par la stasi dans le but de démolir de l'intérieur l'idéal de liberté que les punks inventifs expérimentaient sans retenue. Un ouvrage haletant, sincère et des plus vifs.

Julien