Il n'est pas toujours facile de trouver les mots pour expliquer aux tout-petits qui est Dieu.
Heureusement la collection "Le chemin des tout-petits" est idéale pour répondre à toutes leurs questions.
De manière très simple, avec des exemples du quotidien, les auteurs montrent comment Dieu est omniscient et omniprésent, bienveillant et aimant.
Les textes sont courts et accompagnés d'illustrations claires et flashies, de quoi capter l'attention des 3-6 ans.

Clotilde Margottin a connu la dépression pendant plusieurs années. Elle nous raconte ce qu’elle a vécu, mais aussi ce qu’ont traversé ses proches, mari, enfants, famille et amis.
C’est d’ailleurs une particularité très intéressante de ce livre : le mari de Clotilde Margottin a eu un rôle essentiel dans sa guérison.
Ce témoignage est donc très explicite, bien écrit et détaillé. Elle nous parle du choc face au médecin qui diagnostique cette maladie dont elle souffre depuis deux ans. Elle lui demande alors une estimation de son temps de guérison, et il lui répond : « entre trois et cinq ans » !
Il lui faut donc accepter « la maladie de la honte », comme elle la nomme. Son entourage ne comprend pas bien sa situation, alors qu’elle a tout pour être heureuse : une famille aimante, un travail passionnant et une foi vivante.
Elle donne divers conseils pour s'en sortir.
C’est un livre précieux et magnifique !

Dans le Paris du XVème siècle, entre le pont Notre Dame et le Petit Pont, Marguerite grandit dans un atelier d'enluminure.
Sa mère veut faire d'elle une enfant discrète qui deviendra une bonne épouse. Elle, désire suivre les traces de son père et son grand-père enlumineurs. Tiraillée, vivant dans un monde d'hommes et dans une société hostile à la gente féminine, elle cherche sa place.
Le talent va guider ses pas vers les couleurs, les matières, la lumière. Tous ses sens sont en éveil, elle a soif d'apprendre et de peindre.
L'écriture de Anne Delaflotte Mehdevi est incisive, efficace et rapide. On ressent l'urgence de cette petite Marguerite en quête d'apprentissage et de beauté.

L’auteur, théologien américain de renom, spécialiste d’éthique et droit de l’homme nous explique en quoi le catholicisme développe des outils intellectuels qui peuvent aider à sauver la modernité de sa déconstruction actuelle.
Pendant une grande partie du XIXe siècle, beaucoup de laïcs et de catholiques ont pensé que l’Eglise et le monde moderne s’opposeraient dans une lutte destructrice. Le triomphe de la modernité laïque – démocratie, libéralisme, éducation de masse, liberté religieuse – allait amoindrir le rôle de l’Eglise comme acteur de l’Histoire, et cela pourrait conduire à la remise en cause des convictions religieuses.
George Weigel renverse ces idées reçues révèle comment la rencontre avec la modernité, plutôt que de faire disparaitre le catholicisme, a finalement rendu l’Eglise plus cohérente.

Marine Barnérias est une jeune fille pas tout à fait comme les autres. A 22 ans, le diagnostic tombe : elle est atteinte de Sclérose En Plaques (SEP), une maladie auto-immune. Ou « Rosy », comme elle aime à l’appeler.
Après l’abattement, cette étudiante dynamique et optimiste décide de surmonter son découragement et se met un projet fou en tête : faire un voyage de 7 mois en traversant 3 pays.
Ses objectifs : apprendre à mieux se connaître et se réconforter face à sa maladie, mais aussi « faire naître chez chaque malade une énergie positive et une confiance en la vie ».
Retour sur « Seper Héro », cette expérience qu’elle a vécu en 2016 dont le documentaire est sorti au cinéma le 5 janvier 2022.