- EAN13
- 9782259204590
- ISBN
- 978-2-259-20459-0
- Éditeur
- Plon
- Date de publication
- 02/11/2006
- Nombre de pages
- 540
- Dimensions
- 24,3 x 15,6 x 3,6 cm
- Poids
- 664 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 944.034
- Fiches UNIMARC
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Ma reine infortunée
souvenirs de la comtesse d'Adhémar, dame du palais de Marie-Antoinette
De GABRIELLE-PAULINE D' ADHEMAR
Préface de Michel de Grèce
Plon
Des mémoires retrouvées. C'est par le plus grand des hasards qu'un descendant de la comtesse d'Adhémar découvre dans un grenier du château familial deux gros volumes de souvenirs sur Marie-Antoinette, réédités en un seul volume.
Parmi le flot d'ouvrages qui accompagnent l'étonnant retour en grâce de Marie-Antoinette, voici un livre à part.
Retrouvé au hasard d'un rangement de grenier, le document s'est vite révélé trop beau pour être totalement honnête.
Un mystère continue de planer sur la genèse de ces Souvenirs.
Mais Gabrielle Pauline Bouthillier de Chavigny a bien existé. Epouse en secondes noces du comte Jean-Balthazar d'Adhémar de Monfalcon, ambassadeur du roi à Londres, elle fut bien dame du palais de Marie-Antoinette.
Ruinée, elle meurt en 1822.
Par bonheur, la plume de la comtesse est alerte. Acérée et pointue le plus souvent. Le livre est un pamphlet, avec pour cible le duc d'Orléans, dépeint comme l'organisateur machiavélique des "événements affreux qui ont couvert la France de sang et de deuil".
Plume féroce donc - on pense à Saint-Simon -, qui décrit sans pitié, avec l'inimitable liberté d'esprit d'une époque qui n'a pas peur des mots, l'aveuglement d'un monde raffiné et corrompu, le jeu cruel des cabales qui divise et divertit la Cour, tragique Bal des maudits dansant sans le savoir leur dernier menuet au bord de l'abîme.
Parmi le flot d'ouvrages qui accompagnent l'étonnant retour en grâce de Marie-Antoinette, voici un livre à part.
Retrouvé au hasard d'un rangement de grenier, le document s'est vite révélé trop beau pour être totalement honnête.
Un mystère continue de planer sur la genèse de ces Souvenirs.
Mais Gabrielle Pauline Bouthillier de Chavigny a bien existé. Epouse en secondes noces du comte Jean-Balthazar d'Adhémar de Monfalcon, ambassadeur du roi à Londres, elle fut bien dame du palais de Marie-Antoinette.
Ruinée, elle meurt en 1822.
Par bonheur, la plume de la comtesse est alerte. Acérée et pointue le plus souvent. Le livre est un pamphlet, avec pour cible le duc d'Orléans, dépeint comme l'organisateur machiavélique des "événements affreux qui ont couvert la France de sang et de deuil".
Plume féroce donc - on pense à Saint-Simon -, qui décrit sans pitié, avec l'inimitable liberté d'esprit d'une époque qui n'a pas peur des mots, l'aveuglement d'un monde raffiné et corrompu, le jeu cruel des cabales qui divise et divertit la Cour, tragique Bal des maudits dansant sans le savoir leur dernier menuet au bord de l'abîme.
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